Campagne de sociofinancement

Louise Leboeuf, Le P’tit Journal de Malartic, Malartic, septembre 2016

ptitjournalmalartic

L’équipe du P’tit journal de Malartic entreprend une vaste campagne de sociofinancement.

Le P’tit Journal entreprend un virage web-papier qui saura donner aux lecteurs et aux collaborateurs le meilleur des deux mondes. Avec ses 405 collaborateurs, cette année, le journal est encore le média des gens de chez nous. Pour entreprendre ce virage, nous avons besoin de vous! C’est pour  cela que le P’tit Journal a entrepris une vaste campagne de sociofinancement.

La campagne de sociofinancement comprend deux volets: le premier, qui s’adresse aux organismes et aux entreprises, est accompagné d’un plan de financement des plus attrayants. Le deuxième volet consiste en un tirage de toiles d’artistes de chez-nous: Daniell e Boutin -Turgeon et Gilles Plante.

Pour expliquer la situation financière du journal, il faut mentionner que les frais d’impression sont plus élevés et demandent plus de revenus. Or, les revenus publicitaires  ont connu une baisse importante, notons que ceux provenant de la publicité nationale sont passés de 17 885$ en 2014-2015 à 2 800$ en 2015-2016 sans préavis. Notre association, l’Association des médias communautaires écrits du Québec, fait des représentations auprès du Gouvernement du Québec autour de cette question. Nous croisons les doigts.

Cependant, le nombre d’abonnés et de ventes demeurent assez constants et le nombre de collaborateurs a explosé, ce qui nous permet d’affirmer que le journal maintient sa popularité et que nous travaillons fort pour qu’il poursuivre sa mission. Nous attendons des réponses d’entreprises qui croient au journal et qui veulent le soutenir.

Nous voulons également vous informer à propos du virage « web-papier ». Notre journal papier deviendra un mensuel, il sera donc disponible tous les derniers mercredis du mois. Il sera plus volumineux et son contenu sera exclusif. Notre site, journalmalartic.com, permettra d’accéder à des nouvelles en continu. Le web, c’est l’instantané et le papier, c’est la réflexion. Nous aurons donc le meilleur des deux mondes.