Louise Plante – Crédits : David Leblanc

Louise Plante, à l’avant-garde de l’actualité régionale

Valérie Deshamps, La Gazette de la Mauricie, Trois-Rivières, avril 2021

Sous sa plume, histoires du quotidien et histoires du millénaire ont pris racine dans le récit mauricien. Son  regard  attentif,  son  écoute  et  ses questionnements de « chien de garde  de  la  démocratie  »  ont  permis à la population d’avoir l’heure juste. Louise Plante a su, pendant 34  ans,  mettre  en  mots  la  grande  comme  la  petite  histoire  des  gens  de notre région. Cette fois-ci, c’est la sienne qui sera racontée dans cet épisode de Racines mauriciennes.

«  Il  y  a  dans  nos  personnalités  des caractéristiques qui nous sont très  propres.  Moi,  c’était  le  sens  de  la  justice.  Le  sens  de  la  justice  sociale! » raconte d’emblée la journaliste à la retraite. Après un saut en  Droit,  c’est  le  milieu  journalistique  qui  lui  a  permis  d’abreuver  ces   envies   d’égalité   et   d’équité.   «  ’aime bien dire que j’aimais être un  chien  de  garde  de  la  démocratie! » raconte-t-elle en rigolant.

La  sinueuse  Saint-Maurice  a  accompagné bon nombre de voyagements  de  l’ex-journaliste.  «  J’étais  un  peu  comme  Émilie  Bordeleau  dans  son  école,  je  faisais  tout!  »  compare   Louise.   Ayant   débuté   sa  carrière  dans  un  des  bureaux  régionaux    du    Nouvelliste,    elle    devint  la  première  femme  à  travailler dans le bureau latuquois du quotidien. « Mes collègues étaient tous des hommes et être une célibataire  à  cette  époque-là,  c’était  quelque  chose,  je  dirais  »  se  plait-elle à se remémorer, yeux rieurs au ciel.  «  C’était  représentatif  d’une  époque,  aussi  »,  ajoute-t-elle  à  la  fin de ses anecdotes.

 

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