Sylvie Croteau, L’Attisée, Saint-Jean-Port-Joli
À deux reprises en quelques jours à peine, j’ai entendu parler d’un restaurant de Québec qui ne produisait que très peu de déchets et d’une famille quelque part qui faisait la même chose. D’où cette interrogation…
Pourrions-nous devenir (Saint-Jean-Port-Joli, Saint-Aubert et Saint-Damase) des villages sans déchets? Si nous recyclons et compostons, que reste-t-il? Peu de déchets. Les maires et conseillers des villages devraient se pencher sur cette question et nous fournir des bacs de compostage, comme c’est le cas dans plusieurs villes maintenant. Ainsi, il y aurait moins de déchets et chaque bac (bleu, vert, brun) serait ramassé toutes les deux semaines. Car, il faut se le dire, ce n’est pas tout le monde qui composte, et encore moins l’hiver! Moi la première, je ne peux pas me rendre à mon compost lorsqu’il y a de la neige. Mais si j’avais un bac…
De plus, tout ce compost pourrait, outre servir aux municipalités, très bien être redistribué aux villageois au printemps; tout le monde en a besoin pour ses fleurs et son jardin. Ça coûterait trop cher? On va chercher du compost, on laisse un petit don.
Nos villages seraient ainsi des villages presque sans déchets.
Tant qu’à rêver… rêvons pour vrai! Joyeux Noël!