Mickaël Bergeron, Le Trait d’Union du Nord, Fermont, le 21 septembre 2009
Le 12 septembre, le CLD de Caniapiscau invitait la population de Fermont à une journée de mobilisation afin de discuter de l’avenir de Fermont. Plus de 50 citoyens de tous les horizons se sont dirigés au sous-sol de l’église pour discuter des besoins fermontois et des développements prioritaires de la région.
Des personnalités du conseil municipal, du centre de santé et d’autres organismes se mélangeaient parmi les citoyens pour discuter du développement économique, social, touristique, des loisirs et de la culture de Fermont. « Nous sommes vraiment satisfaits, c’est au-delà de nos attentes », avoue Annie Desrosiers, agente de développement au CLD de Caniapiscau. « Ceci permet d’être vraiment représentatif », ajoute-t-elle.
Le mot du jour était sans aucun doute développement. Au final, le rapport de cette mobilisation servira de ligne directrice pour les cinq prochaines années. Plusieurs sujets sont revenus plus que d’autres : la route 389, le logement, le parc industriel et le recyclage. D’autres idées ont également fait surface, comme la présence d’un travailleur de rue, une piste cyclable, un centre de glisse ou d’un camping.
Le plus rapidement possible, soit vers la mi-octobre, les gens qui ont participé recevront une copie du rapport, en plus des organisations touchées par le développement de Fermont. « Les gens qui veulent en obtenir une copie pourront le demander aussi », précise l’agente de développement du CLD. Il s’agit d’un document qu’un organisme ou qu’un citoyen ayant Fermont à cœur devrait posséder.