Les employeurs de l’île ont beaucoup à offrir : Un premier Salon de l’emploi de l’Île-d’Orléans très prisé

Pierre Pruneau, Autour de l’Île, Saint-Pierre-de-l’Île-d’Orléans, avril 2009

Le 14 mars dernier se tenait à Saint-Pierre la première édition du Salon de l’emploi de l’Île-d’Orléans. Sous l’impulsion de la Chambre de commerce de l’Île-d’Orléans, 20 entreprises de l’île et cinq partenaires majeurs dans le domaine attendaient les visiteurs de tous les âges dans la grande salle du club social de la papetière Stadacona.

Le CLD de l’Île-d’Orléans et la Caisse Desjardins de l’Île-d’Orléans ont investi des fonds rendant possible la réalisation de ce projet. Des entrepreneurs provenant autant du secteur agricole que touristique, installés derrière leurs kiosques, se sont fait un plaisir de renseigner les chercheurs d’emplois et les curieux sur les quelque 150 opportunités de travail qu’ils offraient en 2009. À 10 h, M. Charles Michaud, président de la Chambre de commerce locale, inaugurait l’événement entouré de représentants des deux paliers de gouvernement, du CLD, de la Caisse Desjardins et du CLE de Beauport.

Les visiteurs de tous âges déambulaient seuls ou accompagnés de membres de leurs familles pour s’enquérir des emplois disponibles dans leurs domaines de prédilection. Travailler sur des bateaux, dans une maison patrimoniale, dans des restaurants réputés, chez un horticulteur, dans une colonie de vacances ou dans une chalouperie, voilà autant de défis qui piquaient la curiosité de nombreux visiteurs. Un service de transport collectif serait même organisé par le CLD de la Côte-de-Beaupré permettant aux travailleurs l’accès à leurs lieux de travail sur l’île pour un coût minime. Certains en profitaient pour déposer leur CV ou remplir un formulaire indiquant clairement leur intention de postuler pour un emploi.

Plusieurs personnes se sont dites impressionnées par la bonne organisation du salon et la qualité de l’information diffusée par des intervenants dynamiques. Une famille originaire de France se renseignait sur notre monde de travail. D’autres, ayant déjà un emploi, comblaient leur curiosité et s’arrêtaient au comptoir de l’UPA ou du GIT (Groupe intégration travail) pour en apprendre plus sur les services offerts par ces firmes.

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